13 janvier 2010
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18:31
Pas de polar pour ce soir... Mais, un excellent whisky. Un design classy, trois singes en métal épinglent le col de la dive bouteille. Madame est de sortie, le pot au feu mijote, et Thorogood me susurre qu'il: drink alone, car il n'aime pas la compagnie... Il n'est pas sept heures, chers auditeurs, et, ce n'est qu'un billet d'humeur...
Je pensais à Martin Eden. A Jack London, et à la poursuite du rêve. Dans une caisse en bois, poussièreuse de surcroît, mon vieux m'avait légué, le droit de rejouer, quelques certitudes, chèrement acquises, un capital rebellion de type anarcho-syndicaliste, et des bouquins de London.
Pas de calling, ha, Ha, mais un auteur qui n'en veut. Pour les fans des deschiens, ce petit rappel...
Toujours cablé, j'enchaine avec un live de One Bourbon, one scotch, one Beer, du même chanteur.
Et tout ça pour dire? Well, well, comme le dit si bien Rural Louis Burnside . Vous connaissez le dicton. Quand on ne peut fermer sa gueule, sans pouvoir s'empêcher de l'ouvrir, un seul remède, le bistrot, ou l'internet!
Un bad to the bone plus tard, le niveau du Monkey Shoulder a baissé.
J'ai maté Inglorious Basterds de Tarantino, et Martin Eden se retourne dans sa tombe. Enfin, peut-être pas.
Je me cantonne habituellement au polar, je m'essaye parfois à la poésie, ce soir c'est autre chose. Un O.L.N.I, ou objet lisible non identifié...
Pour ceux qui ont lu Eden, cette chronique, n'a pas lieu d'être.
Mais sans mentir, le bonhomme a de la bouteille.Tonton jack, nous livre avec Martin, un roman qui nous offre les clés de sa vie, de sa mort et et de son oeuvre. Son coeur, ses tripes, et le reste.
Je l'ai humblement lu, trois ou quatre fois. Je l'ai bouffé. Et dévoré. Et savouré.
Je le relirai sans doute. Sans vouloir offenser le politiquement correcte, le livres est un putain de chef d'oeuvre.
ZZ top, crachotte dans le poste maintenant. La Grange...
Alors, que dire, si ce n'est que le sublime rôde à chaque instant!
Et que le livre est un outil indispensable!
Un Tony Joe white plus loin, je ne peux que vous dire, LISEZ!!!!!
Et London aussi. Malgré le temps écoulé. Malgré la mort.
Révisez certains de vos classiques, bordel!
Vous aurez, de bonnes surprises!
Je pensais à Martin Eden. A Jack London, et à la poursuite du rêve. Dans une caisse en bois, poussièreuse de surcroît, mon vieux m'avait légué, le droit de rejouer, quelques certitudes, chèrement acquises, un capital rebellion de type anarcho-syndicaliste, et des bouquins de London.
Pas de calling, ha, Ha, mais un auteur qui n'en veut. Pour les fans des deschiens, ce petit rappel...
Toujours cablé, j'enchaine avec un live de One Bourbon, one scotch, one Beer, du même chanteur.
Et tout ça pour dire? Well, well, comme le dit si bien Rural Louis Burnside . Vous connaissez le dicton. Quand on ne peut fermer sa gueule, sans pouvoir s'empêcher de l'ouvrir, un seul remède, le bistrot, ou l'internet!
Un bad to the bone plus tard, le niveau du Monkey Shoulder a baissé.
J'ai maté Inglorious Basterds de Tarantino, et Martin Eden se retourne dans sa tombe. Enfin, peut-être pas.
Je me cantonne habituellement au polar, je m'essaye parfois à la poésie, ce soir c'est autre chose. Un O.L.N.I, ou objet lisible non identifié...
Pour ceux qui ont lu Eden, cette chronique, n'a pas lieu d'être.
Mais sans mentir, le bonhomme a de la bouteille.Tonton jack, nous livre avec Martin, un roman qui nous offre les clés de sa vie, de sa mort et et de son oeuvre. Son coeur, ses tripes, et le reste.
Je l'ai humblement lu, trois ou quatre fois. Je l'ai bouffé. Et dévoré. Et savouré.
Je le relirai sans doute. Sans vouloir offenser le politiquement correcte, le livres est un putain de chef d'oeuvre.
ZZ top, crachotte dans le poste maintenant. La Grange...
Alors, que dire, si ce n'est que le sublime rôde à chaque instant!
Et que le livre est un outil indispensable!
Un Tony Joe white plus loin, je ne peux que vous dire, LISEZ!!!!!
Et London aussi. Malgré le temps écoulé. Malgré la mort.
Révisez certains de vos classiques, bordel!
Vous aurez, de bonnes surprises!