19 novembre 2009
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17:15
Pour préparer un kir, la recette est simple. Du vin blanc et de la crème, cassis, pêche ou mûre.
En résumé.
Enfantin, n'est-ce pas? Mais, trop de vin et le cocktail est acide, trop de crème, et le résultat est sirupeux, voire écoeurant...
Fakirs, le bouquin de Varenne, sorti chez Hamy, cumule. Il est au confluent de ces deux extrèmes.
Pas en même temps, heureusement. Voyez:
Le flic est trop intelligent, il dérange. Dépressif, on le relégue aux Suicides.
Son adjoint est trop gentil, il ne sera jamais qu'adjoint.
L'americain est psychologue, il fait du tir à l'arc.
Son pote, l'ancien taulard, ressemble à Bunker et son chien s'appelle Mesrine.
Un ancien bourreau, gay, junkie, et masochiste, croise une fois de trop le méchant.
Formé par la C.I.A, celui-çi, donne des coups de canne et s'amuse à torturer des gens...
Y'a des nécrophiles et des suicides qui n'en sont pas, et pour finir, une apothéose de...
Et trop de...
Mais je me tais, car franchir cette ligne serait scandaleux, même pour parler d'un livre que je n'ai pas aimé.
Varenne écrit bien, mais n'en fait pas assez. Ou peut-être en fait-il trop, et pense donner le change... Parfois, sa prose s'enlise, l'action aussi.
Malgré mon engouement pour la contemplation, ma patience se délite, je ne lis qu'au compte-goutte, le bouquin traine sur mes étagères...
Enfin, mon calvaire s'achève. La dernière page est tournée.
Voilà.
Je vous donne la primeure de mon opinion.
Mais, ne nous fâchons pas. Les enthousiastes, peuvent toujours encenser le bouquin et lui octroyer des prix litteraires.
Pour ma part, je ne l'offrirai pas, même à belle-maman, c'est dire...
En résumé.
Enfantin, n'est-ce pas? Mais, trop de vin et le cocktail est acide, trop de crème, et le résultat est sirupeux, voire écoeurant...
Fakirs, le bouquin de Varenne, sorti chez Hamy, cumule. Il est au confluent de ces deux extrèmes.
Pas en même temps, heureusement. Voyez:
Le flic est trop intelligent, il dérange. Dépressif, on le relégue aux Suicides.
Son adjoint est trop gentil, il ne sera jamais qu'adjoint.
L'americain est psychologue, il fait du tir à l'arc.
Son pote, l'ancien taulard, ressemble à Bunker et son chien s'appelle Mesrine.
Un ancien bourreau, gay, junkie, et masochiste, croise une fois de trop le méchant.
Formé par la C.I.A, celui-çi, donne des coups de canne et s'amuse à torturer des gens...
Y'a des nécrophiles et des suicides qui n'en sont pas, et pour finir, une apothéose de...
Et trop de...
Mais je me tais, car franchir cette ligne serait scandaleux, même pour parler d'un livre que je n'ai pas aimé.
Varenne écrit bien, mais n'en fait pas assez. Ou peut-être en fait-il trop, et pense donner le change... Parfois, sa prose s'enlise, l'action aussi.
Malgré mon engouement pour la contemplation, ma patience se délite, je ne lis qu'au compte-goutte, le bouquin traine sur mes étagères...
Enfin, mon calvaire s'achève. La dernière page est tournée.
Voilà.
Je vous donne la primeure de mon opinion.
Mais, ne nous fâchons pas. Les enthousiastes, peuvent toujours encenser le bouquin et lui octroyer des prix litteraires.
Pour ma part, je ne l'offrirai pas, même à belle-maman, c'est dire...